La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1529)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1528) -
Chapitre 7 bis suite : La consultation -
On exigea de suite de me dévêtir
Je ne parvenais pas à contenir mes tremblements. Jétais maintenant nu, mains dans le dos, tête basse, devant le bureau du médecin. Contrairement à ce que javais pu craindre, ma nudité nétait plus un problème avec ce qui sétait passé préalablement, mais javais peur, très peur de me retrouver avec des piercings de partout sur le sexe...
- Tu vois Maxime, jai ramassé ce bâtard il y a peu, dans un bar, près de chez moi. Je veux en faire une bonne salope, une grosse chienne docile et servile donnant son cul à qui veut le prendre. Il a de bonnes prédispositions et jen connais la raison. Lui aussi crois le savoir. Mais tu me connais Maxime, je ne fais jamais prendre de risques à tous ceux que Je domine. Alors je veux que tu lexamines, je veux le savoir en bonne santé, je veux aussi que tu le mettes sous PrEP. (NDLA La PrEP : Prophylaxie Pré-Exposition ou Pre-Exposure Prohylaxis en anglais, est une stratégie de prévention du VIH. Elle consiste à prendre un médicament antirétroviral de manière continue ou discontinue pour éviter d'être contaminé-e par le VIH. Elle sadresse aux personnes qui ne sont pas infectées par le VIH, qui nutilisent pas systématiquement le préservatif lors de leurs rapports sexuels et qui sont à haut risque de contracter le VIH. Il s'agit, en particulier, des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HsH) ou des personnes ayant des partenaires multiples hommes ou femmes). Le médecin acquiesçait, jétais soulagé, devais-je lêtre ?
- Je vais examiner cette salope, peux-tu Edouard lui ôter sa cage ?
Nu comme un ver, jétais pris par un bras et étais installé sur la table de consultation, celle-ci ne présagerait rien dune consultation classique, puisque jétais maintenant couché à plat, dos sur cette table plate, les fesses au ras de celle-ci les pieds callés et sanglés dans des étriers.
- Regarde-moi cette lope, Edouard, il bande déjà ! Tu lui retires sa cage et voilà sa nouille toute raide dès quon le touche un peu ! Tous les mêmes ces chiens en rut !, dit le médecin en levant les yeux au plafond
Le médecin forçait ensuite ma rondelle et me lécartait avec un spéculum. Peu après, je le voyais prendre une sonde urétrale en acier. Je blêmissais. Très vite encore, je me retrouvais avec un écarteur de bouche entre les dents, le médecin y glissait à lintérieur un bâillon en forme de plug quil gonflait pour quil ne puisse séchapper, puis me branlait doucement ma queue fortement durcie. Contre cette masturbation e, je ne pouvais pas lutter, car avec ma nouille déjà dressée, le soignant trouvait un pervers plaisir à me branler. Il déposait du gel lubrifiant sur mon méat et enfonçait la sonde dans mon sexe, dun geste adroit et précis. Je ne parvenais pas à maitriser des tremblements, je sentais des gouttes de sueur perler sur mon front, jétais à deux doigts de mévanouir. La peur plus une sensation de brûlure me faisait perdre la raison.
- Il aime ça ce chien, il aime se faire ouvrir le cul !, disait le Maître qui approuvait le traitement que je subissais.
Je ne pouvais pas démentir, je ne pouvais pas parler. Mon corps shabituait à cette sonde, dailleurs dès quune main caressait ou frôlait ma nouille, celle-ci devenait hypersensible, une sensation étrange, comme si je me mettais à pisser. Je sursautais encore, lorsque jentendais le ronronnement dune machine. Quallait-on me faire subir encore ?
- Ne tinquiète pas petite chienne, juste un petit coup de vibro pour extraire ton jus de lope soumise.
Par réflexe, au contact de ce fin et long vibromasseur passé sur mes chairs intimes, mon anus cherchait à se contracter. Il se heurtait aux parois métalliques du spéculum ! Ma vessie, mon rectum, tout mon corps subissaient lassaut de cette machine infernale, qui venait titiller ma prostate. Je me sentais vibrer de lintérieur, ce nétait pas douloureux, plutôt agréable même, juste une sensation étrange qui réactivait mon envie de pisser. Le Maitre soccupait de ma nouille tendue, pétrissait mes couilles, tenait entre ma bite érigée et mon abdomen, une petite coupelle en verre, alors que le médecin continuait à comprimer et caresser ma glande intime. Je me débattais dans mes liens, remuais la tête de tout côté, cherchais à exprimer mon besoin pressant duriner. Eux ne se préoccupaient guère de mes agitations, au contraire même, lintensité du massage augmentait à tel point que je ne pouvais plus lutter, jallais me pisser dessus.
- Regarde, regarde ta nouille, regarde tes souillures qui sévacuent.
Jéjaculais sans connaitre lorgasme, pas le moindre plaisir, aucun spasme
rien ! Mon sperme sortait de mon méat écarté par cette sonde urétrale creuse, et coulait doucement sans à coup, sans force ni jet dans cette coupelle. Peu après, jétais enfin libéré de toute contrainte
la consultation était terminée...
- Je lui prescris un examen sanguin approfondi avec contrôle des MST (maladie sexuellement transmissible), une CBU, je lui fais une ordonnance pour le traitement PrEP, avec ça tu es tranquille mon cher Edouard
il est en pleine forme ton clébard ! Je veux le revoir dans trois mois pour le suivi
- Parfait, Maxime, combien je te dois pour la consultation ?
- Eh bien comme dhabitude ! Tu paies en nature !
Sitôt dit, sitôt fait quand le médecin complétait son propos en défaisant sa ceinture, et je compris alors que payer en nature voulait dire que cétait moi la nature ! Le Maître claqua des doigts et mordonna de me pencher en avant le ventre bien à plat sur le bureau du docteur, le cul bien exposé. Je sentais tout dun coup le sexe dur et déjà en érection du docteur se présenter et se frotter sur ma raie anale, puis venir sappuyer contre ma rondelle. Il enleva le spéculum et enfonça dun coup violent sa grosse verge dans mon trou béant, largement dilaté par le spéculum et en me maintenant fermement par les hanches
Il me baisait pas, il me besognait déjà à grands coups de reins puissants telle une bête sauvage en rut. Je nétais plus quun trou ouvert, je servais juste pour que le soignant se vide les couilles le plus vite possible. Durant cette saillie animale, il ne se préoccupait pas de moi, il me défonçait, et ce nétait pas un vain mot, mais une réalité folle ! Je navais que très rarement été sodomisé de la sorte, si brutalement, si bestialement.
- Voilà un cul bien défoncé qui vaut le meilleur de mes honoraires
(A suivre
)
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